n vrai site internet, c'est ce qu'il me fallait, une vitrine de mon travail, un truc classe. Le problème, c'est qu'il risquait de ressembler à une coquille vide. Quand on est un beatmaker fainéant, c'est toujours difficile d'alimenter son site web. Aujourd'hui, j'ai tout de même 2/3 productions - pas plus - à faire valoir, donc il est temps de lancer ma propre machine promotionnelle. Si si.

K-Tharsis.